Pour être crédibles, compétitifs et performants, les acteurs de l’export ne peuvent pas se permettre de chercher leurs mots, de rester coincés dans une quête de sens, ou de courir après une traduction. Revue de détail alphabétique des termes qui font l’affaire, en commençant par A, évidemment.
A comme…
Accorage : il s’agit d’un calage sur bateau, qui permet d’éviter le glissement des colis et des contenants durant le transport maritime.
Affrètement : c’est le document contractuel d’échange de bons procédés entre un armateur ou un groupeur (propriétaire et fournisseur de navire ou de camion), et un affréteur (transporteur maritime ou routier).
Agent maritime : il s’agit de la personne chargée d’agir pour le compte de l’exploitant d’un bateau dans un port d’escale. Ses missions principales : recruter du personnel, fournir les marchandises et seconder le capitaine.
Aire de dépôt temporaire : c’est un lieu extérieur mis officiellement à disposition des stocks de marchandises exportés pour leur permettre de patienter aux portes de la douane.
AWB / LTA : il s’agit de l’airway bill, à savoir, la lettre de transport aérien.
Arrimage : c’est le fait de mettre en place une cargaison de marchandises dans un navire, en vue de garantir sa conservation, d’assurer la sécurité à bord, et d’optimiser la desserte des ports d’escale.
Auxiliaire de transport : c’est un prestataire (mandaté ou commissionné) qui fait figure d’intermédiaire entre un transporteur et son commanditaire.
Avitaillement : c’est l’ensemble des fournitures (carburants, provisions…) qui permettent d’une part de faire fonctionner les véhicules de transport maritimes et aériens, et d’autre part de nourrir et de conforter leur équipage.
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