Les anglicismes et abréviations sont partout, mais en connaît-on vraiment la définition ? 

Par exemple, le terme BYOD est de plus en plus présent sur la toile, surtout dans le domaine de l’entreprise. Il signifie « Bring Your Own Device » en anglais, soit l’équivalent de « Apportez votre appareil personnel » en français. Que ce soit pour les ordinateurs, pour les tablettes ou pour les smartphones, de plus en d’appareils personnels apparaissent au sein des entreprises. 

Les risques

Pourtant, ce phénomène de masse comporte des risques en matière de sécurité car les collaborateurs consultent des documents confidentiels et conservent des échanges privés sur leurs appareils personnels. De cette façon, les réseaux internes sont menacés car entre les malwares et les fuites, l’exposition au danger est décuplée. 

Pour prévenir des dommages collatéraux, les dirigeants d’entreprise doivent soit interdire l’utilisation d’appareils personnels au sein de l’entreprise, soit adapter leur réseau à cette pratique. 

Les différentes solutions

La politique de sécurité d’une entreprise s’applique sur les appareils qui y sont utilisés, mais quand ils viennent de l’extérieur, comme les appareils personnels, cela change la donne. A l’évidence, les dirigeants ne vont pas interdire à leurs collaborateurs de laisser leurs effets personnels chez eux, mais simplement de ne pas les utiliser dans le cadre professionnel .

Si les dirigeants souhaitent éviter les risques tout en autorisant le BYOD car ils estiment que c’est plus rentable (car les employés peuvent travailler de chez eux, n’importe où et n’importe quand), alors il faut que le réseau soit sécurisé et qu’il s’adapte à tous les systèmes d’exploitation.

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